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L’incontinence urinaire : Comprendre et traiter efficacement un problème souvent sous-estimé

L’incontinence urinaire, qui se traduit par une perte involontaire d’urine, touche aussi bien les hommes que les femmes, bien qu’elle soit plus fréquente chez ces dernières. Ce problème peut prendre plusieurs formes et avoir différentes causes, mais il existe aujourd’hui de nombreuses solutions efficaces pour y remédier.

Chez la femme : deux formes principales d’incontinence

L’incontinence urinaire est une pathologie extrêmement fréquente des femmes au-delà de 40 ans qui peut revêtir deux formes :

  • L’l’incontinence urinaire d’effort liée à la fragilisation du périnée par les accouchements puis la ménopause.
  • Si la rééducation périnéale peut apporter un soulagement dans les formes débutantes, une petite intervention chirurgicale réalisée en ambulatoire permet de guérir plus de 90 % des femmes, avec des résultats immédiats et durables.
  • Par ailleurs il existe des incontinences par hyper activité de la vessie, ou incontinence par impériosité, aboutissant à des mictions involontaires que l’on ne peut retenir en dehors de tout effort. Là aussi il existe des prises en charge permettant de contrôler ces fuites par médicaments ou injection dans la vessie. 

Ces deux formes d’incontinence peuvent coexister chez certaines femmes, nécessitant une approche de traitement adaptée.

Chez l’homme : une incontinence plus rare mais souvent liée à la chirurgie

Chez les hommes, l’incontinence urinaire est plus rare et survient généralement à la suite de chirurgies prostatiques ou vésicales. Si l’incontinence devient gênante et impacte la qualité de vie, la solution la plus efficace est souvent l’implantation d’un sphincter artificiel, qui permet de restaurer le contrôle urinaire.

Les fuites urinaires par envies trop pressante sont souvent liées à des pathologies prostatiques bénignes ou des pathologies de la paroi vésicale. En fonction de la cause des traitements endoscopiques adaptés peuvent être proposés.

Enfin les patients des deux sexes présentant des pathologies neurologiques graves, les traumatisés de la moelle épinière peuvent présenter des troubles de la continence nécessitant la aussi des prises en charge spécialisées.

Les troubles de la continence chez les patients présentant des pathologies neurologiques graves.

Les patients des deux sexes atteints de pathologies neurologiques sévères, comme les traumatisés de la moelle épinière, peuvent également présenter des troubles de la continence nécessitant la aussi des prises en charge spécialisées.

Des solutions existent.

L’incontinence urinaire, bien que parfois taboue, peut être traitée efficacement. Qu’il s’agisse de rééducation, de médicaments ou d’interventions chirurgicales, chaque patient peut retrouver une meilleure qualité de vie grâce à des traitements adaptés à sa situation. Si vous êtes concerné, n’hésitez pas à consulter un spécialiste pour discuter des options disponibles et adaptées.

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Les calculs rénaux

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Les calculs rénaux

1. Qu'est-ce que les calculs rénaux, et quels sont les facteurs de risque les plus courants qui peuvent les provoquer ?

Les calculs rénaux sont des formations solides qui se forment dans l’urine et qui peuvent entraîner des conséquences néfastes pour le système urinaire.

Il en existe plusieurs types, chacun ayant des causes spécifiques :

  • Les calculs d’oxalate de calcium, qui représentent environ 75 % des cas, sont les plus courants. Ils sont le plus souvent liés à une prédisposition familiale et à un régime alimentaire qui apporte trop de protéines et pas assez de liquides.
  • Les calculs d’acide urique constituent environ 20 % des calculs rénaux. Ils sont provoqués par sécrétion trop importante d’acide urique dans les urines en raison d’un excès d’acide urique dans le sang et a des urines trop acides
  • Les calculs plus rares peuvent être dus à des maladies génétiques particulières ou à certains médicaments.

Il est à noter qu’il n’existe aucun lien entre les calculs urinaires et les calculs de la vésicule biliaire.

2. Quels sont les principaux symptômes qui pourraient indiquer la présence de calculs rénaux ?

Le symptôme classique de la présence de calculs est la crise de colique néphrétique qui est liée à la migration brutale du calcul rénal dans le canal urinaire provoquant le blocage douloureux du rein. Cette douleur peut être très intense et nécessiter des traitements antalgiques lourds. Elle peut aboutir à une intervention endoscopique en urgence pour soulager le rein et le patient

La présence de sang dans les urines peut aussi être révélatrice d’un calcul urinaire enfin le calcul peut être découvert de manière fortuite lors d’examens radiologiques réalisés pour une autre cause.

3. Pouvez-vous expliquer les différentes options de traitement disponibles pour les patients souffrant de calculs rénaux ?

En fonction de la nature du calcul, les traitements peuvent varier. 

  • Les calculs d’oxalate de calcium ne peuvent pas être dissous. Si leur taille reste petite, inférieure à 6 mm, une surveillance régulière, accompagnée de mesures diététiques visant à limiter leur croissance, est généralement suffisante.
  • Les calculs d’acide urique peuvent fondre en réduisant l’acidité des urines. Cela peut être réalisé par la prise d’alcalinisants comme le bicarbonate de sodium ou le jus de citron.
  • Lorsqu’un calcul est volumineux, que la douleur est intense ou qu’une infection rénale survient, une prise en charge chirurgicale est généralement recommandée. Elle se fait le plus souvent par chirurgie endoscopique, comprenant la fragmentation et l’extraction du calcul, ainsi que le drainage des urines par sonde.

4. Comment la chirurgie endoscopique a-t-elle révolutionné le traitement des calculs rénaux, et quels en sont les avantages pour les patients ?

La chirurgie endoscopique, et notamment le développement récent des endoscopes fins et souples, a permis de réduire considérablement le recours à la chirurgie ouverte pour les calculs rénaux. Ces  interventions chirurgicales sont le plus souvent réalisées en ambulatoire, sans nécessité d’hospitalisation de nuit.  

Dans certains cas, plusieurs séances sont requises pour éliminer complètement le ou les calculs.

5. Existe-t-il des mesures préventives que les patients peuvent prendre pour réduire le risque de développer des calculs rénaux ?

Une hydratation régulière et abondante est capitale pour réduire le risque de récidive des calculs rénaux. Il est recommandé aux patients ayant des antécédents de calculs de consommer un minimum de 3 litres de liquide par jour, et cela, tout au long de leur vie. 

Des mesures diététiques peuvent également être mises en place :

  • Pour les calculs d’oxalate de calcium : il est conseillé de réduire la consommation de protéines animales et de limiter les apports en sel.
  • Pour les calculs d’acide urique : l’alcalinisation des urines peut être effectuée grâce à la consommation de bicarbonate de sodium, de citrate de sodium ou de jus de citron. Idéalement, le pH des urines doit être maintenu au-dessus de 7, afin d’éviter la formation de nouveaux calculs.

6. Quels sont les derniers progrès ou innovations dans le domaine de la prise en charge des calculs rénaux ?

La miniaturisation des appareils d’endoscopie flexibles à usage unique permet désormais de traiter la plupart des calculs par voie rétrograde endoscopique, sans nécessiter d’hospitalisation ni laisser de cicatrice. Les lasers modernes permettent de fragmenter les calculs, quel que soit leur emplacement dans le système urinaire. De plus, les technologies de laser modernes permettent de fragmenter efficacement les calculs, peu importe leur emplacement dans le système urinaire. 

Ces innovations contribuent à réduire le temps de récupération des patients et à améliorer leur confort durant l’intervention.

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Le dépistage du cancer de la prostate : une précaution essentielle

La prostate est une glande, située sous la vessie. Elle joue un rôle dans la production du liquide séminal. Lorsque des cellules anormales se développent dans la prostate, elles peuvent former une tumeur, dont l’évolution peut varier.

La prostate est une glande, située sous la vessie. Elle joue un rôle dans la production du liquide séminal. Lorsque des cellules anormales se développent dans la prostate, elles peuvent former une tumeur, dont l’évolution peut varier.

Les facteurs de risque du cancer de la prostate

Le cancer de la prostate est lié à plusieurs facteurs, notamment :

  • L’âge : le risque augmente considérablement après 50 ans.
  • Les antécédents familiaux : avoir un proche atteint de cancer de la prostate augmente les risques.
  • Les origines ethniques : les hommes d’origine africaine ont un risque plus élevé de développer ce cancer.
  • Le mode de vie : une alimentation riche en graisses animales et pauvre en fruits et légumes peut aussi jouer un rôle dans le développement du cancer.

Les symptômes

Le cancer de la prostate, surtout à ses débuts, est souvent asymptomatique. Cependant, certains signes peuvent apparaître à mesure que la tumeur se développe, tels que :

  • Une envie fréquente d’uriner, particulièrement la nuit,
  • Un jet urinaire faible ou interrompu,
  • Des difficultés à vider complètement la vessie,
  • Du sang dans les urines ou le sperme,
  • Des douleurs dans le bas du dos, les hanches ou les cuisses.

Les méthodes de diagnostic

Les méthodes de diagnostic 

Le diagnostic du cancer de la prostate repose sur :

  • Un test sanguin (PSA) : un test simple qui mesure l’antigène spécifique de la prostate.
  • Un toucher rectal : examen clinique pour vérifier la taille et la consistance de la prostate.
  • Une échographie : pour évaluer avec précision le volume de la prostate.

Ces trois examens combinés permettent de déterminer le risque de cancer et d’établir un suivi personnalisé. Si ces examens révèlent une anomalie, une biopsie de la prostate peut être réalisée pour confirmer le diagnostic.

Le pronostic

Le pronostic du cancer de la prostate dépend du stade auquel il est détecté. Bien que cette maladie soit souvent de longue évolution, seuls 5 % des hommes diagnostiqués en décèdent. Dans la majorité des cas, elle peut être traitée efficacement avec un dépistage et une intervention précoce.

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